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    sept
    04
    2019

    La Gazette des Résidents

    Une éducation au non-gaspillage

    Article rédigé le 16/05/2019

    Cet article fait suite à l’article sur les habitudes ménagères d’antan. En effet, nous nous sommes rappelés qu’autrefois, nous ne jetions rien. Nos parents nous disaient « ça peut servir ». D’où notre envie de parler de l’éducation que nous avons eu sur le non-gaspillage.

    Quand nous étions enfants, nos parents trouvaient déjà qu’on gaspillait.

    On ne jetait jamais un morceau de pain. On faisait de la panade avec : du pain trempé dans du lait ou de la soupe bouillie. On la faisait plus ou moins épaisse. « Ce n’était pas mauvais ! ».

    Lors des repas, il fallait se servir peu et se resservir si besoin.

    On avait un garde-manger à la cave qui faisait office de frigo, pour conserver les restes alimentaires.

    Les vêtements des enfants ainés servaient aux autres enfants. Le dernier avait les vêtements usés.

    On reprisait les chaussettes avec une patate à l’intérieur. On apprenait à le faire à l’école, dès 8 ans. « La dernière fois, ma fille m’a vu repriser une chaussette. Elle m’a dit : qu’est-ce que tu fais ? je vais t’en racheter ! ».

    On avait une heure de couture par semaine à l’école. On avait toutes une travailleuse à la maison dans laquelle on avait tout le matériel de couture. On compte encore sur les mamies pour recoudre et repriser ! « La dernière fois, ma fille m’a dit qu’elle allait jeter son haut car la manche se décousait. Elle ne sait pas coudre. Je lui ai proposé de lui recoudre ! ».

    Pendant la guerre, on avait des bons pour acheter des chaussures. On en avait avec des semelles de bois. On avait droit à une paire d’été et une paire d’hiver. Par contre, les chaussures des 1ers enfants n’étaient pas données aux suivants.

    Les affaires d’école étaient utilisées d’une année à l’autre. Le sac d’école durait plusieurs années.

    On économisait sur le nombre de watt pour s’éclairer dans les maisons. On éteignait dès qu’on quittait une pièce. L’eau devait également être économisée. Elle était parfois coupée dans les points collectifs, dans les petits pays à certaines heures, par économie.

    Maintenant, tout est fait pour pousser à la consommation. Ce sont les plus jeunes qui y sont sensibles. Autour de nous, nous voyons finalement un gaspillage permanent : alimentation jetée, des lumières qui restent allumées …

    Actuellement, c’est une conscience écologique qui remplace une conscience économique.

    Gervasoni S
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    août
    27
    2019

    Conférence/débat – Les directives anticipées et la personne de confiance

    Conférence/débat – Les directives anticipées et la personne de confiance

    Jeudi 29 août à 16h30 à la Maison de l’Osier Pourpre en salle de vie

    Venez assister à la conférence sur le thème :

     » les directives anticipées et le personne de confiance »

    qui sera animée par Dr COULON, médecin de l’équipe mobile ses soins palliatifs.

    Lors de cette conférence, les familles, résidents et personnel sont invités à y participer.

    Il n’est pas facile de parler de sa fin de vie et pourtant il est important de clarifier le rôle de chacun dans ce moment précis. Veiller au respect des volontés individuelles reste primordial.

    Descharmes X
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    août
    03
    2019

    La Gazette des Résidents

    Un cas difficile : l’affaire Vincent Lambert

    Article du 23/05/2019

    Dans la semaine du 20 mai 2019, les médias ont beaucoup parlé de l’affaire Vincent Lambert. Ses proches se déchirent depuis dix ans au sujet de sa fin de vie, les résidents de l’Osier Pourpre ont souhaité réagir sur cette affaire.

    « C’est long et c’est compliqué » : depuis une dizaine d’années maintenant que Vincent Lambert est tétraplégique, on en parle dans les médias.

    Certains d’entre nous ont l’impression que la mère de Vincent Lambert « s’acharne » et qu’elle ne veut pas voir mourir son fils.

    Cette affaire pose la question de l’acharnement thérapeutique. Le ministère de la Santé conseille depuis de mettre par écrit ce que l’on veut pour sa fin de vie afin d’éviter ce genre de cas de figure, ce genre de conflit familial.

    Il faut l’écrire, demander à mettre noir sur blanc ce que l’on souhaite pour ses derniers jours. Cela a été fait par certains d’entre nous : « c’est un choix, j’en ai parlé à mes enfants, c’est important d’écrire ses directives anticipées » / « ma fille l’a faite pour elle et j’ai eu envie de le faire aussi ».

    Lundi 20 mai, on a vu dans les médias les avocats des parents se réjouir d’une décision de justice imposant la continuité des soins et traitements alors qu’il avait été décidé deux jours plus tôt de leur arrêt.

    Les avocats ont crié « victoire » et cette réaction nous a semblé inhumaine. L’épouse et le neveu de Vincent Lambert sont contre cette décision, cette famille est déchirée. De nouveau, la décision « finale » va être reportée à 6 mois voire un an.. Si on va plus loin dans la réflexion, on peut quand même se poser la question de combien cela coûte à la Sécurité Sociale ?

    On a déjà vu dans les médias un cas isolé de réveil après 20 ans de coma. Cela peut donner de l’espoir. On dit d’ailleurs que « tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir »… mais pendant combien de temps c’est encore vrai ? En plus, dans le cas de Vincent Lambert, tout semble artificiel, est-ce que c’est vraiment être en vie ?

    On peut s’interroger sur les réactions ou non du patient : en 10 ans, est ce que le corps médical a tout tenté ? et si des choses ont été faites, qu’elles ont été les réactions de Vincent Lambert ? Comment a-t-il réagi ? Ce qu’il veut vraiment, on ne le saura jamais malheureusement.

    Sa mère veut qu’il soit transféré dans une structure spécialisée. Pourquoi cela n’a pas été fait avant ?

    Dans cette affaire, chacun a son avis sur la question, que ce soit pour ou contre. Nous sommes toutefois du même avis lorsqu’il s’agit de parler de responsabilité. Les médecins ont une très lourde responsabilité. Et nous, nous pensons que c’est aussi tous les membres de la famille de Vincent Lambert qui ont une grosse responsabilité en agissant en son nom, en « choisissant » pour lui c’est d’ailleurs pourquoi ce cas est si difficile.

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    Descharmes X
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  • juil
    26
    2019

    Protégé : Compte rendu de la commission menu du 23 juillet 2019

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    Matry K
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  • juil
    26
    2019

    Protégé : Compte rendu de la commission animation du 16 juillet 2019

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    Matry K
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  • La gazette des résidents
    juil
    02
    2019

    La Gazette des Résidents

    La passion de l’histoire notamment au sujet de Chaumont, nous a donné envie de créer une nouvelle rubrique dans la Gazette. Nous avons eu envie de vous parler de :

    L’origine des halles

    A la place actuelle des halles, il y avait à l’origine un cimetière accolé à l’église St Michel.

    Des morceaux de pierre tombale du cimetière ont été retrouvées en faisant les fondations du lotissement du fer à cheval. Des plaques funéraires de l’ancien cimetière sont fixées à l’entrée sur l’enceinte du cimetière actuel de Clamart. On peut visiter une fois/an les ruines sous les halles. Il y a un accès à l’entrée des halles. Elles ont servi d’abri pendant la guerre.

    Le tout 1er cimetière à Chaumont se trouvait autour de la basilique St Jean. Etant trop petit, l’église St Michel a été construite avec un nouveau cimetière autour. Mais celui-ci est devenu insuffisant et même dangereux pour la santé publique « à cause des miasmes pestilentiels que le charnier répandait », selon l’Abbé Lorain (annales de la société d’histoire, d’archéologie et des beaux-arts de Chaumont en 1910). C’est pour cela qu’un nouveau cimetière a été créé : celui de Clamart. Ce dernier a été également ré-agrandit car il était lui-même trop petit.

    Les halles ont été restaurées avant et après-guerre. Elles ont été repeintes, il y a environ 20 ans. Même pendant la guerre, les halles ont gardé leur fonction et ont servi aux commerçants. Les vendeurs étaient de petits producteurs et agriculteurs de la région.

    Il y avait des « cossonniers » : vendeurs d’œufs, volailles et production du jardin qui entouraient l’habitation.

    Les étales étaient moins grandes et il y avait plusieurs étales de mêmes produits. Maintenant, ce sont des plus gros producteurs.

    Autour des halles, il y avait des chausseurs de rue, des vendeurs de confiseries, … et des accordéonistes. C’était joyeux. Il y avait plus de fréquentation que maintenant. Il n’y avait pas de grandes surfaces.

    Paget E
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  • juin
    21
    2019

    Protégé : Compte rendu commission « Menu » du 18/06/2019

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  • mai
    23
    2019

    Protégé : Commission animation et vie sociale du 22 mai 2019

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    Matry K
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  • mai
    16
    2019

    Protégé : Rencontre entre la directrice et les résidents autour d’un café

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    Matry K
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  • mai
    15
    2019

    Protégé : Compte rendu commission « menu » du 14 mai 2019

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    Descharmes X
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